Face à la crise politique et sociale que la France est en train de traverser, l'éxecutif annonce des mesures fortes sur la moralisation de la vie publique : transparence, conflits d'intérêts et paradis fiscaux sont les points clés de François Hollande, crise de confiance oblige : 55% des Français pensent que les politiques sont des hommes corrompus et 76% n'en font plus confiance.

La moralisation est une bien belle chose pour qu'une République soit « irréprochable ». Et c'est justement là, qu'en redorant son image, Hollande veut montrer qu'il est présent pour lutter contre les « voyous de la République » qui s'exilent et qui fraudent sans le moindre respect de leurs compatriotes. La transparence a un rôle essentiel pour démasquer certaines dérives, n'en déplaise aux élus.

La moralisation est aussi la chose, en partie, inutile pour les Français dans le sens où les mesures de l'exécutif ne suffiront pas à instaurer un climat de confiance solide avec personnel politique. Ce que veulent vraiment les Français, c'est un rapprochement de ce personnel politique avec la vraie vie avce des solutions viables sur le chômage, la précarité, et le pouvoir d'achat à titre d'exemples.

Affaire à suivre.